[Trad] [svn:pgfr] r1168 - in traduc: branches/bv81x/manuel branches/bv82x/manuel trunk/postgresql

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Ven 10 Oct 12:03:32 CEST 2008


Author: gleu
Date: 2008-10-10 12:03:31 +0200 (Fri, 10 Oct 2008)
New Revision: 1168

Modified:
   traduc/branches/bv81x/manuel/runtime.xml
   traduc/branches/bv82x/manuel/runtime.xml
   traduc/trunk/postgresql/runtime.xml
Log:
Corrections par Christophe Bouchet.


Modified: traduc/branches/bv81x/manuel/runtime.xml
===================================================================
--- traduc/branches/bv81x/manuel/runtime.xml	2008-10-10 08:45:58 UTC (rev 1167)
+++ traduc/branches/bv81x/manuel/runtime.xml	2008-10-10 10:03:31 UTC (rev 1168)
@@ -64,7 +64,7 @@
    de la base de données <literal>postgres</literal> mais beaucoup d'outils
    supposent son existence. Une autre base de données est créée à l'intérieur
    de chaque groupe lors de l'initialisation. Elle est appelée
-   <literal>template1</literal>. comme le nom le suggère, elle sera utilisée
+   <literal>template1</literal>. Comme le nom le suggère, elle sera utilisée
    comme modèle pour les bases de données créées après&nbsp;; elle ne devrait
    pas être utilisée pour un vrai travail (voir le <xref
    linkend="managing-databases"/> pour des informations sur la création de
@@ -75,13 +75,13 @@
    En terme de système de fichiers, un groupe de bases de données sera un
    simple répertoire sous lequel les données seront stockées. Nous l'appelons le
    <firstterm>répertoire de données</firstterm> ou l'<firstterm>emplacement des
-   données</firstterm>. le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
+   données</firstterm>. Le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
    Il n'existe pas de valeur par défaut bien que les emplacements tels que
    <filename>/usr/local/pgsql/data</filename> ou
-   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. pour initialiser un
+   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. Pour initialiser un
    groupe de bases de données, utilisez la commande <xref
    linkend="app-initdb"/>,<indexterm><primary>initdb</primary></indexterm> installée avec
-   <productname>PostgreSQL</productname>. l'emplacement désiré sur le groupe de
+   <productname>PostgreSQL</productname>. L'emplacement désiré sur le groupe de
    fichier est indiqué par l'option <option>-d</option>, par exemple
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>initdb -d /usr/local/pgsql/data</userinput></screen>
    Notez que vous devez exécuter cette commande en étant connecté sous le compte
@@ -103,7 +103,7 @@
    droit de le faire (si vous avez suivi notre conseil et créé un compte sans
    droits). Dans ce cas, vous devez créer le répertoire vous-même (en tant que
    root) et modifier le propriétaire pour qu'il corresponde à l'utilisateur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. voici comment réaliser ceci&nbsp;:
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Voici comment réaliser ceci&nbsp;:
 <screen>root# <userinput>mkdir /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>chown postgres /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>su postgres</userinput>
@@ -130,8 +130,8 @@
    locaux, nous vous recommandons d'utiliser une des options <option>-w</option> ou
    <option>--pwprompt</option> de la commande <command>initdb</command> pour
    affecter un mot de passe au super-utilisateur de la base de
-   données.<indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
-   super-utilisateur</secondary></indexterm>. de plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
+   données <indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
+   super-utilisateur</secondary></indexterm>. De plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
    <option>-a mot_de_passe</option> de façon à ce que la méthode d'authentification
    <literal>trust</literal> par défaut ne soit pas utilisée&nbsp;; ou modifiez le fichier
    <filename>pg_hba.conf</filename> généré après l'exécution
@@ -152,16 +152,16 @@
    L'ordre de tri utilisé à l'intérieur du groupe de bases de données est
    initialisé par <command>initdb</command> et ne peut pas être modifié après,
    en dehors de la sauvegarde des données, du redémarrage de
-   <command>initdb</command> et du rechargement des données. il y a aussi un
+   <command>initdb</command> et du rechargement des données. Il y a aussi un
    impact sur les performances lors de l'utilisation de locales autres que
-   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. du coup, il est important de faire ce
+   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. Du coup, il est important de faire ce
    choix correctement la première fois.
   </para>
 
   <para>
    <command>initdb</command> configure aussi le codage par défaut de l'ensemble
    de caractères pour le groupe de bases de données. Normalement, cela doit
-   été choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
+   être choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
    voir la <xref linkend="multibyte"/>.
   </para>
  </sect1>
@@ -190,7 +190,7 @@
    de fond. Pour cela, utilisez la syntaxe shell habituelle&nbsp;:
 <screen>$ <userinput>postmaster -d /usr/local/pgsql/data &gt;journaux_trace 2&gt;&amp;1 &amp;</userinput></screen>
    Il est important de sauvegarder les sorties <systemitem>stdout</systemitem> et
-   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. cela
+   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. Cela
    vous aidera dans des buts d'audits ou pour diagnostiquer des problèmes (voir
    la <xref linkend="logfile-maintenance"/> pour une discussion plus détaillée
    de la gestion de journaux de trace).
@@ -216,11 +216,11 @@
 
   <para>
    Normalement, vous lancerez le serveur de bases de données lors du
-   démarrage de l'ordinateur.<indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
-   lancement du serveur</secondary></indexterm> les scripts de lancement automatique sont
+   démarrage de l'ordinateur <indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
+   lancement du serveur</secondary></indexterm>. Les scripts de lancement automatique sont
    spécifiques au système d'exploitation. Certains sont distribués avec
    <productname>PostgreSQL</productname> dans le répertoire
-   <filename>contrib/start-scripts</filename>. en installer un demandera les
+   <filename>contrib/start-scripts</filename>. En installer un demandera les
    droits de root.
   </para>
 
@@ -228,12 +228,12 @@
    Différents systèmes ont différentes conventions pour lancer les démons au
    démarrage. La plupart des systèmes ont un fichier
    <filename>/etc/rc.local</filename> ou
-   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. d'autres utilisent les répertoires
-   <filename>rc.d</filename>. quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
+   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. D'autres utilisent les répertoires
+   <filename>rc.d</filename>. Quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
    compte utilisateur <productname>PostgreSQL</productname> <emphasis>et non pas
-   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. donc, vous devriez
+   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. Donc, vous devriez
    probablement former vos commandes en utilisant <literal>su -c '...' 
-   postgres</literal>. par exemple&nbsp;:
+   postgres</literal>. Par exemple&nbsp;:
 <programlisting>su -c 'pg_ctl start -D /usr/local/pgsql/data -l serverlog' postgres</programlisting>
   </para>
 
@@ -350,7 +350,7 @@
      configuré le support de la mémoire partagée de type System-V dans votre
      noyau. Comme contournement temporaire, vous pouvez essayer de lancer le
      serveur avec un nombre de tampons plus petit que la normale
-     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). éventuellement, vous pouvez
+     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). Éventuellement, vous pouvez
      reconfigurer votre noyau pour accroître la taille de mémoire partagée
      autorisée. Vous pourriez voir aussi ce message en essayant d'exécuter
      plusieurs serveurs sur la même machine si le total de l'espace qu'ils
@@ -399,7 +399,7 @@
         Is the server running on host "server.joe.com" and accepting
         TCP/IP connections on port 5432?</screen>
      Ceci est l'échec générique <quote>je n'ai pas trouvé de serveur à qui
-     parler</quote>. cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
+     parler</quote>. Cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
      TCP/IP est tentée. Une erreur commune est d'oublier de configurer le
      serveur pour qu'il autorise les connexions TCP/IP.
     </para>
@@ -434,9 +434,9 @@
 
   <para>
    Une installation importante de <productname>PostgreSQL</productname> peut rapidement
-   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation. (Sur certains
+   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation (Sur certains
    systèmes, les valeurs par défaut sont trop basses que vous n'avez même pas
-   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.) si vous avez rencontré ce
+   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.). Si vous avez rencontré ce
    type de problème, continuez votre lecture.
   </para>
 
@@ -455,7 +455,7 @@
     La mémoire partagée et les sémaphores sont nommés collectivement
     <quote><acronym>ipc</acronym> <systemitem class="osname">system v</systemitem></quote>
     (ensemble avec les queues de messages, qui n'ont pas d'importance pour
-    <productname>PostgreSQL</productname>). pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
+    <productname>PostgreSQL</productname>). Pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
     modernes fournissent ces fonctionnalités mais, parmi elles, toutes ne sont pas
     activées ou dimensionnées suffisamment par défaut, spécialement les systèmes
     ayant l'héritage BSD (pour les ports <systemitem class="osname">windows</systemitem>,
@@ -466,7 +466,7 @@
 
    <para>
     Le manque complet de fonctionnalités est généralement manifesté par 
-    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. dans
+    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. Dans
     ce cas, il n'y a rien à faire à part reconfigurer votre noyau.
     <productname>PostgreSQL</productname> ne fonctionnera pas sans.
    </para>
@@ -596,7 +596,7 @@
 
    <para>
     Certains systèmes ont aussi une limite sur le nombre total de mémoire partagée
-    dans le système (<varname>shmall</varname>). assurez-vous que cela soit suffisamment
+    dans le système (<varname>shmall</varname>). Assurez-vous que cela soit suffisamment
     important pour <productname>PostgreSQL</productname> et quelque autres applications
     utilisant des segments de mémoire partagée (attention&nbsp;:
     <varname>shmall</varname> est mesuré en pages plutôt qu'en octets sur beaucoup de
@@ -608,7 +608,7 @@
    <para>
     La taille minimum des segments de mémoire partagée (<varname>shmmin</varname>) est
     moins sensible aux problèmes. Elle devrait être au plus à environ
-    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). le
+    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). Le
     nombre maximum de segments au travers du système (<varname>shmmni</varname>) ou par
     processus (<varname>shmseg</varname>) a peu de chances de causer un problème sauf
     s'ils sont configurés à zéro sur votre système.
@@ -634,7 +634,7 @@
 
    <para>
     Dans certains cas, il pourrait être nécessaire d'augmenter
-    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. ce
+    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. Ce
     paramètre définit la taille de la carte de ressources de sémaphores, dans
     laquelle chaque bloc contigü de sémaphores disponibles ont besoin d'une
     entrée. Lorsqu'un ensemble de sémaphores est libéré ou qu'il est enregistré
@@ -679,7 +679,7 @@
 	 configuration ci-dessus augmente l'aire de mémoire partagée à 32&nbsp;Mo.
          Pour ceux utilisant une version 4.3 ou ultérieure, vous aurez
          probablement besoin d'augmenter <varname>kernel_virtual_mb</varname> au-dessus
-         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. une fois tous les changements
+         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. Une fois tous les changements
          effectués, recompilez le noyau et redémarrez.
         </para>
        </formalpara>
@@ -692,7 +692,7 @@
 <computeroutput>0x9 = 9</computeroutput></screen>
         Ensuite, ajoutez <varname>sysptsize</varname> comme valeur codée en dur dans
         le fichier de configuration du noyau. Augmentez la valeur que vous
-        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. ajoutez 1 pour chaque
+        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. Ajoutez 1 pour chaque
         4&nbsp;Mo supplémentaire de mémoire partagée que vous souhaitez.
 <programlisting>options "SYSPTSIZE=16"</programlisting>
         <varname>sysptsize</varname> ne peut pas être modifié
@@ -704,7 +704,7 @@
         <para>
 	 Vous voudrez probablement aussi augmenter le nombre de sémaphores&nbsp;;
 	 la somme totale par défaut du système (60) n'autorisera seulement que
-	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. initialisez les
+	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. Initialisez les
          valeurs que vous souhaitez dans le fichier de configuration du
          noyau&nbsp;:
 <programlisting>options "SEMMNI=40"
@@ -722,9 +722,9 @@
        <para>
         Les paramètres par défaut sont seulement acceptables pour de petites
 	installations (par exemple, la valeur par défaut de
-	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). les modifications se font
+	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). Les modifications se font
 	via les interfaces <command>sysctl</command> ou
-        <command>loader</command>. les paramètres suivants peuvent être configurés
+        <command>loader</command>. Les paramètres suivants peuvent être configurés
 	en utilisant <command>sysctl</command>&nbsp;:
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmall=32768</userinput>
 <prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmmax=134217728</userinput>
@@ -783,7 +783,7 @@
         Les options <varname>sysvshm</varname> et <varname>sysvsem</varname> doivent être
         activées à la compilation du noyau (ils le sont par défaut). La taille
         maximum de mémoire partagée est déterminée par l'option
-        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). ce qui suit montre un exemple de
+        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). Ce qui suit montre un exemple de
         l'initialisation des différents paramètres (<systemitem
 	class="osname">OpenBSD</systemitem> utilise <literal>option</literal> à la place)&nbsp;:
 <programlisting>options         SYSVSHM
@@ -820,7 +820,7 @@
         Les paramètres <acronym>ipc</acronym> peuvent être initialisés dans 
         <application>system administration manager</application> (<acronym>sam</acronym>) sous
         <menuchoice><guimenu>kernel configuration</guimenu><guimenuitem>configurable
-        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
+        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. Allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
         terminée.
        </para>
       </listitem>
@@ -1057,11 +1057,11 @@
    <para>
     Les systèmes d'exploitation style Unix renforcent différents types de
     limites de ressources qui pourraient interférer avec les opérations de votre
-    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. les limites sur le nombre de
+    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. Les limites sur le nombre de
     processus par utilisateur, le nombre de fichiers ouverts par un processus et la
     taille mémoire disponible pour chaque processus sont d'une grande
     importance. Chacun d'entre elles ont une limite <quote>dure</quote> et une
-    limite <quote>souple</quote>. la limite souple est réellement ce qui compte
+    limite <quote>souple</quote>. La limite souple est réellement ce qui compte
     mais cela pourrait être changé par l'utilisateur jusqu'à la limite dure. La
     limite dure pourrait seulement être modifiée par l'utilisateur root. L'appel
     système <function>setrlimit</function> est responsable de l'initialisation
@@ -1080,7 +1080,7 @@
         :maxproc-cur=256:\
         :openfiles-cur=256:\
 ...</programlisting>
-    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. ajoutez
+    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. Ajoutez
     <literal>-max</literal> pour configurer la limite dure.)
    </para>
 
@@ -1094,7 +1094,7 @@
       <filename>/proc/sys/fs/file-max</filename> détermine le nombre maximum de
       fichiers ouverts que le noyau supportera. Ce nombre est modifiable en
       écrivant un autre nombre dans le fichier ou en ajoutant une affectation
-      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. la limite des fichiers par
+      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. La limite des fichiers par
       processus est fixée lors de la compilation du noyau&nbsp;; voir
       <filename>/usr/src/linux/documentation/proc.txt</filename> pour plus
       d'informations.
@@ -1174,7 +1174,7 @@
 <programlisting>sysctl -w vm.overcommit_memory=2</programlisting>
     ou en plaçant une entrée équivalente dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>.
     Vous pourriez souhaiter modifier le paramétrage relatif
-    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. pour les détails, voir la documentation du
+    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. Pour les détails, voir la documentation du
     noyau (<filename>documentation/vm/overcommit-accounting</filename>).
    </para>
 
@@ -1266,7 +1266,7 @@
 
   <important>
    <para>
-    Il est mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
+    Il vaux mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
     le serveur. Le faire empêchera le serveur de libérer la mémoire partagée et
     les sémaphores, ce qui pourrait devoir être fait manuellement avant qu'un
     nouveau serveur ne soit lancé. De plus, <systemitem>sigkill</systemitem> tue
@@ -1338,7 +1338,7 @@
    <listitem>
     <para>
      Sur Linux, le chiffrement peut se faire au niveau du montage d'un système
-     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. ceci
+     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. Ceci
      permet à une partition entière du système de fichiers d'être cryptée et
      décryptée par le système d'exploitation. Sur FreeBSD, la fonctionnalité
      équivalent est appelé <quote>geom based disk encryption</quote>, ou
@@ -1383,7 +1383,7 @@
       réseau&nbsp;: le mot de passe, les requêtes et les données renvoyées. Le
       fichier <filename>pg_hba.conf</filename> permet aux administrateurs de spécifier
       quels hôtes peuvent utiliser des connexions non cryptées (<literal>host</literal>)
-      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). de plus,
+      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). De plus,
       les clients peuvent spécifier qu'ils se connectent aux serveurs seulement
       via SSL. <application>stunnel</application> ou <application>ssh</application> peuvent aussi
       être utilisés pour crypter les transmissions.
@@ -1527,7 +1527,7 @@
   <para>
    Vous pouvez utiliser <application>ssh</application> pour crypter la
    connexion réseau entre les clients et un serveur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. réalisé correctement, ceci fournit une
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Réalisé correctement, ceci fournit une
    connexion réseau sécurisée, y compris pour les clients non SSL.
   </para>
 
@@ -1535,7 +1535,7 @@
    Tout d'abord, assurez-vous qu'un serveur <application>ssh</application> est
    en cours d'exécution sur la même machine que le serveur
    <productname>PostgreSQL</productname> et que vous pouvez vous connecter via
-   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. ensuite, vous
+   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. Ensuite, vous
    pouvez établir un tunnel sécurisé avec une commande comme ceci sur la machine
    cliente&nbsp;:
 <programlisting>ssh -L 3333:foo.com:5432 joe at foo.com</programlisting>

Modified: traduc/branches/bv82x/manuel/runtime.xml
===================================================================
--- traduc/branches/bv82x/manuel/runtime.xml	2008-10-10 08:45:58 UTC (rev 1167)
+++ traduc/branches/bv82x/manuel/runtime.xml	2008-10-10 10:03:31 UTC (rev 1168)
@@ -62,7 +62,7 @@
    de la base de données <literal>postgres</literal> mais beaucoup d'outils
    supposent son existence. Une autre base de données est créée à l'intérieur
    de chaque groupe lors de l'initialisation. Elle est appelée
-   <literal>template1</literal>. comme le nom le suggère, elle sera utilisée
+   <literal>template1</literal>. Comme le nom le suggère, elle sera utilisée
    comme modèle pour les bases de données créées après&nbsp;; elle ne devrait
    pas être utilisée pour un vrai travail (voir le <xref
    linkend="managing-databases"/> pour des informations sur la création de
@@ -73,13 +73,13 @@
    En terme de système de fichiers, un groupe de bases de données sera un
    simple répertoire sous lequel les données seront stockées. Nous l'appelons le
    <firstterm>répertoire de données</firstterm> ou l'<firstterm>emplacement des
-   données</firstterm>. le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
+   données</firstterm>. Le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
    Il n'existe pas de valeur par défaut bien que les emplacements tels que
    <filename>/usr/local/pgsql/data</filename> ou
-   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. pour initialiser un
+   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. Pour initialiser un
    groupe de bases de données, utilisez la commande <xref
    linkend="app-initdb"/>,<indexterm><primary>initdb</primary></indexterm> installée avec
-   <productname>PostgreSQL</productname>. l'emplacement désiré sur le groupe de
+   <productname>PostgreSQL</productname>. L'emplacement désiré sur le groupe de
    fichier est indiqué par l'option <option>-d</option>, par exemple
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>initdb -d /usr/local/pgsql/data</userinput></screen>
    Notez que vous devez exécuter cette commande en étant connecté sous le compte
@@ -101,7 +101,7 @@
    droit de le faire (si vous avez suivi notre conseil et créé un compte sans
    droits). Dans ce cas, vous devez créer le répertoire vous-même (en tant que
    root) et modifier le propriétaire pour qu'il corresponde à l'utilisateur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. voici comment réaliser ceci&nbsp;:
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Voici comment réaliser ceci&nbsp;:
 <screen>root# <userinput>mkdir /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>chown postgres /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>su postgres</userinput>
@@ -128,8 +128,8 @@
    locaux, nous vous recommandons d'utiliser une des options <option>-w</option> ou
    <option>--pwprompt</option> de la commande <command>initdb</command> pour
    affecter un mot de passe au super-utilisateur de la base de
-   données.<indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
-   super-utilisateur</secondary></indexterm>. de plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
+   données <indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
+   super-utilisateur</secondary></indexterm>. De plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
    <option>-a mot_de_passe</option> de façon à ce que la méthode d'authentification
    <literal>trust</literal> par défaut ne soit pas utilisée&nbsp;; ou modifiez le fichier
    <filename>pg_hba.conf</filename> généré après l'exécution
@@ -150,16 +150,16 @@
    L'ordre de tri utilisé à l'intérieur du groupe de bases de données est
    initialisé par <command>initdb</command> et ne peut pas être modifié après,
    en dehors de la sauvegarde des données, du redémarrage de
-   <command>initdb</command> et du rechargement des données. il y a aussi un
+   <command>initdb</command> et du rechargement des données. Il y a aussi un
    impact sur les performances lors de l'utilisation de locales autres que
-   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. du coup, il est important de faire ce
+   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. Du coup, il est important de faire ce
    choix correctement la première fois.
   </para>
 
   <para>
    <command>initdb</command> configure aussi le codage par défaut de l'ensemble
    de caractères pour le groupe de bases de données. Normalement, cela doit
-   été choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
+   être choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
    voir la <xref linkend="multibyte"/>.
   </para>
  </sect1>
@@ -170,16 +170,16 @@
   <para>
    Avant qu'une personne ait accès à la base de données, vous devez démarrer le
 serveur de bases de données. Le programme serveur est appelé
-<command>postgres</command>.<indexterm><primary>postgres</primary></indexterm>. Le
+<command>postgres</command><indexterm><primary>postgres</primary></indexterm>. Le
 programme <command>postgres</command> doit savoir où trouver les données qu'il est
-supposé utiliser. Ceci se fait avec l'option <option>-d</option>. du coup, la
+supposé utiliser. Ceci se fait avec l'option <option>-d</option>. Du coup, la
 façon la plus simple de lancer le serveur est&nbsp;:
 <screen>$ <userinput>postgres -d /usr/local/pgsql/data</userinput></screen>
    qui laissera le serveur s'exécuter en avant plan. Pour cela, vous devez être
    connecté en utilisant le compte de l'utilisateur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. sans <option>-d</option>, le serveur
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Sans l'option <option>-d</option>, le serveur
    essaiera d'utiliser le répertoire de données nommé par la variable
-   d'environnement <envar>pgdata</envar>. si cette variable ne le fournit pas
+   d'environnement <envar>pgdata</envar>. Si cette variable ne le fournit pas
    non plus, le lancement échouera.
   </para>
 
@@ -188,7 +188,7 @@
    de fond. Pour cela, utilisez la syntaxe shell habituelle&nbsp;:
 <screen>$ <userinput>postgres -d /usr/local/pgsql/data &gt;journaux_trace 2&gt;&amp;1 &amp;</userinput></screen>
    Il est important de sauvegarder les sorties <systemitem>stdout</systemitem> et
-   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. cela
+   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. Cela
    vous aidera dans des buts d'audits ou pour diagnostiquer des problèmes (voir
    la <xref linkend="logfile-maintenance"/> pour une discussion plus détaillée
    de la gestion de journaux de trace).
@@ -214,11 +214,11 @@
 
   <para>
    Normalement, vous lancerez le serveur de bases de données lors du
-   démarrage de l'ordinateur.<indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
-   lancement du serveur</secondary></indexterm> les scripts de lancement automatique sont
+   démarrage de l'ordinateur <indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
+   lancement du serveur</secondary></indexterm>. Les scripts de lancement automatique sont
    spécifiques au système d'exploitation. Certains sont distribués avec
    <productname>PostgreSQL</productname> dans le répertoire
-   <filename>contrib/start-scripts</filename>. en installer un demandera les
+   <filename>contrib/start-scripts</filename>. En installer un demandera les
    droits de root.
   </para>
 
@@ -226,12 +226,12 @@
    Différents systèmes ont différentes conventions pour lancer les démons au
    démarrage. La plupart des systèmes ont un fichier
    <filename>/etc/rc.local</filename> ou
-   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. d'autres utilisent les répertoires
-   <filename>rc.d</filename>. quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
+   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. D'autres utilisent les répertoires
+   <filename>rc.d</filename>. Quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
    compte utilisateur <productname>PostgreSQL</productname> <emphasis>et non pas
-   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. donc, vous devriez
+   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. Donc, vous devriez
    probablement former vos commandes en utilisant <literal>su -c '...' 
-   postgres</literal>. par exemple&nbsp;:
+   postgres</literal>. Par exemple&nbsp;:
 <programlisting>su -c 'pg_ctl start -D /usr/local/pgsql/data -l serverlog' postgres</programlisting>
   </para>
 
@@ -303,7 +303,7 @@
    <para>
     Tant que le serveur est lancé, son
     <acronym>pid</acronym> est stocké dans le fichier
-    <filename>postmaster.pid</filename> du répertoire de données. c'est utilisé
+    <filename>postmaster.pid</filename> du répertoire de données. C'est utilisé
     pour empêcher plusieurs instances du serveur d'être exécutées dans le même
     répertoire de données et peut aussi être utilisé pour arrêter le processus
     le serveur.
@@ -348,7 +348,7 @@
      configuré le support de la mémoire partagée de type System-V dans votre
      noyau. Comme contournement temporaire, vous pouvez essayer de lancer le
      serveur avec un nombre de tampons plus petit que la normale
-     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). éventuellement, vous pouvez
+     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). Éventuellement, vous pouvez
      reconfigurer votre noyau pour accroître la taille de mémoire partagée
      autorisée. Vous pourriez voir aussi ce message en essayant d'exécuter
      plusieurs serveurs sur la même machine si le total de l'espace qu'ils
@@ -397,7 +397,7 @@
         Is the server running on host "server.joe.com" and accepting
         TCP/IP connections on port 5432?</screen>
      Ceci est l'échec générique <quote>je n'ai pas trouvé de serveur à qui
-     parler</quote>. cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
+     parler</quote>. Cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
      TCP/IP est tentée. Une erreur commune est d'oublier de configurer le
      serveur pour qu'il autorise les connexions TCP/IP.
     </para>
@@ -432,9 +432,9 @@
 
   <para>
    Une installation importante de <productname>PostgreSQL</productname> peut rapidement
-   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation. (Sur certains
+   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation (Sur certains
    systèmes, les valeurs par défaut sont trop basses que vous n'avez même pas
-   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.) si vous avez rencontré ce
+   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.). Si vous avez rencontré ce
    type de problème, continuez votre lecture.
   </para>
 
@@ -453,7 +453,7 @@
     La mémoire partagée et les sémaphores sont nommés collectivement
     <quote><acronym>ipc</acronym> <systemitem class="osname">system v</systemitem></quote>
     (ensemble avec les queues de messages, qui n'ont pas d'importance pour
-    <productname>PostgreSQL</productname>). pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
+    <productname>PostgreSQL</productname>). Pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
     modernes fournissent ces fonctionnalités mais, parmi elles, toutes ne sont pas
     activées ou dimensionnées suffisamment par défaut, spécialement les systèmes
     ayant l'héritage BSD (pour le port <systemitem class="osname">windows</systemitem>,
@@ -463,7 +463,7 @@
 
    <para>
     Le manque complet de fonctionnalités est généralement manifesté par 
-    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. dans
+    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. Dans
     ce cas, il n'y a rien à faire à part reconfigurer votre noyau.
     <productname>PostgreSQL</productname> ne fonctionnera pas sans.
    </para>
@@ -472,7 +472,7 @@
     Quand <productname>PostgreSQL</productname> dépasse une des nombreuses limites
     <acronym>ipc</acronym>, le serveur refusera de s'exécuter et lèvera un
     message d'erreur instructif décrivant le problème rencontré et que faire
-    avec (voir aussi la <xref linkend="server-start-failures"/>). les
+    avec (voir aussi la <xref linkend="server-start-failures"/>). Les
     paramètres adéquats du noyau sont nommés de façon cohérente parmi les
     différents systèmes&nbsp;; le <xref linkend="sysvipc-parameters"/> donne un
     aperçu. Néanmoins, les méthodes pour les obtenir varient. Les suggestions
@@ -593,7 +593,7 @@
 
    <para>
     Certains systèmes ont aussi une limite sur le nombre total de mémoire partagée
-    dans le système (<varname>shmall</varname>). assurez-vous que cela soit suffisamment
+    dans le système (<varname>shmall</varname>). Assurez-vous que cela soit suffisamment
     important pour <productname>PostgreSQL</productname> et quelque autres applications
     utilisant des segments de mémoire partagée (attention&nbsp;:
     <varname>shmall</varname> est mesuré en pages plutôt qu'en octets sur beaucoup de
@@ -605,7 +605,7 @@
    <para>
     La taille minimum des segments de mémoire partagée (<varname>shmmin</varname>) est
     moins sensible aux problèmes. Elle devrait être au plus à environ
-    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). le
+    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). Le
     nombre maximum de segments au travers du système (<varname>shmmni</varname>) ou par
     processus (<varname>shmseg</varname>) a peu de chances de causer un problème sauf
     s'ils sont configurés à zéro sur votre système.
@@ -631,7 +631,7 @@
 
    <para>
     Dans certains cas, il pourrait être nécessaire d'augmenter
-    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. ce
+    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. Ce
     paramètre définit la taille de la carte de ressources de sémaphores, dans
     laquelle chaque bloc contigü de sémaphores disponibles ont besoin d'une
     entrée. Lorsqu'un ensemble de sémaphores est libéré ou qu'il est enregistré
@@ -676,7 +676,7 @@
 	 configuration ci-dessus augmente l'aire de mémoire partagée à 32&nbsp;Mo.
          Pour ceux utilisant une version 4.3 ou ultérieure, vous aurez
          probablement besoin d'augmenter <varname>kernel_virtual_mb</varname> au-dessus
-         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. une fois tous les changements
+         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. Une fois tous les changements
          effectués, recompilez le noyau et redémarrez.
         </para>
        </formalpara>
@@ -689,7 +689,7 @@
 <computeroutput>0x9 = 9</computeroutput></screen>
         Ensuite, ajoutez <varname>sysptsize</varname> comme valeur codée en dur dans
         le fichier de configuration du noyau. Augmentez la valeur que vous
-        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. ajoutez 1 pour chaque
+        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. Ajoutez 1 pour chaque
         4&nbsp;Mo supplémentaire de mémoire partagée que vous souhaitez.
 <programlisting>options "SYSPTSIZE=16"</programlisting>
         <varname>sysptsize</varname> ne peut pas être modifié
@@ -701,7 +701,7 @@
         <para>
 	 Vous voudrez probablement aussi augmenter le nombre de sémaphores&nbsp;;
 	 la somme totale par défaut du système (60) n'autorisera seulement que
-	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. initialisez les
+	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. Initialisez les
          valeurs que vous souhaitez dans le fichier de configuration du
          noyau&nbsp;:
 <programlisting>options "SEMMNI=40"
@@ -719,9 +719,9 @@
        <para>
         Les paramètres par défaut sont seulement acceptables pour de petites
 	installations (par exemple, la valeur par défaut de
-	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). les modifications se font
+	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). Les modifications se font
 	via les interfaces <command>sysctl</command> ou
-        <command>loader</command>. les paramètres suivants peuvent être configurés
+        <command>loader</command>. Les paramètres suivants peuvent être configurés
 	en utilisant <command>sysctl</command>&nbsp;:
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmall=32768</userinput>
 <prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmmax=134217728</userinput>
@@ -780,7 +780,7 @@
         Les options <varname>sysvshm</varname> et <varname>sysvsem</varname> doivent être
         activées à la compilation du noyau (ils le sont par défaut). La taille
         maximum de mémoire partagée est déterminée par l'option
-        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). ce qui suit montre un exemple de
+        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). Ce qui suit montre un exemple de
         l'initialisation des différents paramètres (<systemitem
 	class="osname">OpenBSD</systemitem> utilise <literal>option</literal> à la place)&nbsp;:
 <programlisting>options         SYSVSHM
@@ -817,7 +817,7 @@
         Les paramètres <acronym>ipc</acronym> peuvent être initialisés dans 
         <application>system administration manager</application> (<acronym>sam</acronym>) sous
         <menuchoice><guimenu>kernel configuration</guimenu><guimenuitem>configurable
-        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
+        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. Allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
         terminée.
        </para>
       </listitem>
@@ -1073,11 +1073,11 @@
    <para>
     Les systèmes d'exploitation style Unix renforcent différents types de
     limites de ressources qui pourraient interférer avec les opérations de votre
-    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. les limites sur le nombre de
+    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. Les limites sur le nombre de
     processus par utilisateur, le nombre de fichiers ouverts par un processus et la
     taille mémoire disponible pour chaque processus sont d'une grande
     importance. Chacun d'entre elles ont une limite <quote>dure</quote> et une
-    limite <quote>souple</quote>. la limite souple est réellement ce qui compte
+    limite <quote>souple</quote>. La limite souple est réellement ce qui compte
     mais cela pourrait être changé par l'utilisateur jusqu'à la limite dure. La
     limite dure pourrait seulement être modifiée par l'utilisateur root. L'appel
     système <function>setrlimit</function> est responsable de l'initialisation
@@ -1096,7 +1096,7 @@
         :maxproc-cur=256:\
         :openfiles-cur=256:\
 ...</programlisting>
-    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. ajoutez
+    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. Ajoutez
     <literal>-max</literal> pour configurer la limite dure.)
    </para>
 
@@ -1110,7 +1110,7 @@
       <filename>/proc/sys/fs/file-max</filename> détermine le nombre maximum de
       fichiers ouverts que le noyau supportera. Ce nombre est modifiable en
       écrivant un autre nombre dans le fichier ou en ajoutant une affectation
-      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. la limite des fichiers par
+      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. La limite des fichiers par
       processus est fixée lors de la compilation du noyau&nbsp;; voir
       <filename>/usr/src/linux/documentation/proc.txt</filename> pour plus
       d'informations.
@@ -1191,7 +1191,7 @@
 <programlisting>sysctl -w vm.overcommit_memory=2</programlisting>
     ou en plaçant une entrée équivalente dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>.
     Vous pourriez souhaiter modifier le paramétrage relatif
-    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. pour les détails, voir la documentation du
+    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. Pour les détails, voir la documentation du
     noyau (<filename>documentation/vm/overcommit-accounting</filename>).
    </para>
 
@@ -1283,7 +1283,7 @@
 
   <important>
    <para>
-    Il est mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
+    Il vaux mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
     le serveur. Le faire empêchera le serveur de libérer la mémoire partagée et
     les sémaphores, ce qui pourrait devoir être fait manuellement avant qu'un
     nouveau serveur ne soit lancé. De plus, <systemitem>SIGKILL</systemitem> tue
@@ -1355,7 +1355,7 @@
    <listitem>
     <para>
      Sur Linux, le chiffrement peut se faire au niveau du montage d'un système
-     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. ceci
+     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. Ceci
      permet à une partition entière du système de fichiers d'être cryptée et
      décryptée par le système d'exploitation. Sur FreeBSD, la fonctionnalité
      équivalent est appelé <quote>geom based disk encryption</quote>, ou
@@ -1400,7 +1400,7 @@
       réseau&nbsp;: le mot de passe, les requêtes et les données renvoyées. Le
       fichier <filename>pg_hba.conf</filename> permet aux administrateurs de spécifier
       quels hôtes peuvent utiliser des connexions non cryptées (<literal>host</literal>)
-      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). de plus,
+      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). De plus,
       les clients peuvent spécifier qu'ils se connectent aux serveurs seulement
       via SSL. <application>stunnel</application> ou <application>ssh</application> peuvent aussi
       être utilisés pour crypter les transmissions.
@@ -1549,7 +1549,7 @@
   <para>
    Vous pouvez utiliser <application>ssh</application> pour crypter la
    connexion réseau entre les clients et un serveur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. réalisé correctement, ceci fournit une
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Réalisé correctement, ceci fournit une
    connexion réseau sécurisée, y compris pour les clients non SSL.
   </para>
 
@@ -1557,7 +1557,7 @@
    Tout d'abord, assurez-vous qu'un serveur <application>ssh</application> est
    en cours d'exécution sur la même machine que le serveur
    <productname>PostgreSQL</productname> et que vous pouvez vous connecter via
-   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. ensuite, vous
+   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. Ensuite, vous
    pouvez établir un tunnel sécurisé avec une commande comme ceci sur la machine
    cliente&nbsp;:
 <programlisting>ssh -L 3333:foo.com:5432 joe at foo.com</programlisting>

Modified: traduc/trunk/postgresql/runtime.xml
===================================================================
--- traduc/trunk/postgresql/runtime.xml	2008-10-10 08:45:58 UTC (rev 1167)
+++ traduc/trunk/postgresql/runtime.xml	2008-10-10 10:03:31 UTC (rev 1168)
@@ -65,7 +65,7 @@
    de la base de données <literal>postgres</literal> mais beaucoup d'outils
    supposent son existence. Une autre base de données est créée à l'intérieur
    de chaque groupe lors de l'initialisation. Elle est appelée
-   <literal>template1</literal>. comme le nom le suggère, elle sera utilisée
+   <literal>template1</literal>. Comme le nom le suggère, elle sera utilisée
    comme modèle pour les bases de données créées après&nbsp;; elle ne devrait
    pas être utilisée pour un vrai travail (voir le <xref
    linkend="managing-databases"/> pour des informations sur la création de
@@ -76,13 +76,13 @@
    En terme de système de fichiers, un groupe de bases de données sera un
    simple répertoire sous lequel les données seront stockées. Nous l'appelons le
    <firstterm>répertoire de données</firstterm> ou l'<firstterm>emplacement des
-   données</firstterm>. le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
+   données</firstterm>. Le choix de cet emplacement vous appartient complètement.
    Il n'existe pas de valeur par défaut bien que les emplacements tels que
    <filename>/usr/local/pgsql/data</filename> ou
-   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. pour initialiser un
+   <filename>/var/lib/pgsql/data</filename> sont populaires. Pour initialiser un
    groupe de bases de données, utilisez la commande <xref
    linkend="app-initdb"/>,<indexterm><primary>initdb</primary></indexterm> installée avec
-   <productname>PostgreSQL</productname>. l'emplacement désiré sur le groupe de
+   <productname>PostgreSQL</productname>. L'emplacement désiré sur le groupe de
    fichier est indiqué par l'option <option>-d</option>, par exemple
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>initdb -d /usr/local/pgsql/data</userinput></screen>
    Notez que vous devez exécuter cette commande en étant connecté sous le compte
@@ -104,7 +104,7 @@
    droit de le faire (si vous avez suivi notre conseil et créé un compte sans
    droits). Dans ce cas, vous devez créer le répertoire vous-même (en tant que
    root) et modifier le propriétaire pour qu'il corresponde à l'utilisateur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. voici comment réaliser ceci&nbsp;:
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Voici comment réaliser ceci&nbsp;:
 <screen>root# <userinput>mkdir /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>chown postgres /usr/local/pgsql/data</userinput>
 root# <userinput>su postgres</userinput>
@@ -131,8 +131,8 @@
    locaux, nous vous recommandons d'utiliser une des options <option>-w</option> ou
    <option>--pwprompt</option> de la commande <command>initdb</command> pour
    affecter un mot de passe au super-utilisateur de la base de
-   données.<indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
-   super-utilisateur</secondary></indexterm>. de plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
+   données <indexterm><primary>mot de passe</primary><secondary>du
+   super-utilisateur</secondary></indexterm>. De plus, spécifiez <option>-a md5</option> ou
    <option>-a mot_de_passe</option> de façon à ce que la méthode d'authentification
    <literal>trust</literal> par défaut ne soit pas utilisée&nbsp;; ou modifiez le fichier
    <filename>pg_hba.conf</filename> généré après l'exécution
@@ -153,16 +153,16 @@
    L'ordre de tri utilisé à l'intérieur du groupe de bases de données est
    initialisé par <command>initdb</command> et ne peut pas être modifié après,
    en dehors de la sauvegarde des données, du redémarrage de
-   <command>initdb</command> et du rechargement des données. il y a aussi un
+   <command>initdb</command> et du rechargement des données. Il y a aussi un
    impact sur les performances lors de l'utilisation de locales autres que
-   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. du coup, il est important de faire ce
+   <literal>c</literal> ou <literal>posix</literal>. Du coup, il est important de faire ce
    choix correctement la première fois.
   </para>
 
   <para>
    <command>initdb</command> configure aussi le codage par défaut de l'ensemble
    de caractères pour le groupe de bases de données. Normalement, cela doit
-   été choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
+   être choisi pour correspondre au paramétrage de la locale. Pour les détails,
    voir la <xref linkend="multibyte"/>.
   </para>
 
@@ -207,16 +207,16 @@
   <para>
    Avant qu'une personne ait accès à la base de données, vous devez démarrer le
 serveur de bases de données. Le programme serveur est appelé
-<command>postgres</command>.<indexterm><primary>postgres</primary></indexterm>. Le
+<command>postgres</command><indexterm><primary>postgres</primary></indexterm>. Le
 programme <command>postgres</command> doit savoir où trouver les données qu'il est
-supposé utiliser. Ceci se fait avec l'option <option>-d</option>. du coup, la
+supposé utiliser. Ceci se fait avec l'option <option>-d</option>. Du coup, la
 façon la plus simple de lancer le serveur est&nbsp;:
 <screen>$ <userinput>postgres -d /usr/local/pgsql/data</userinput></screen>
    qui laissera le serveur s'exécuter en avant plan. Pour cela, vous devez être
    connecté en utilisant le compte de l'utilisateur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. sans <option>-d</option>, le serveur
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Sans l'option <option>-d</option>, le serveur
    essaiera d'utiliser le répertoire de données nommé par la variable
-   d'environnement <envar>pgdata</envar>. si cette variable ne le fournit pas
+   d'environnement <envar>pgdata</envar>. Si cette variable ne le fournit pas
    non plus, le lancement échouera.
   </para>
 
@@ -225,7 +225,7 @@
    de fond. Pour cela, utilisez la syntaxe shell habituelle&nbsp;:
 <screen>$ <userinput>postgres -d /usr/local/pgsql/data &gt;journaux_trace 2&gt;&amp;1 &amp;</userinput></screen>
    Il est important de sauvegarder les sorties <systemitem>stdout</systemitem> et
-   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. cela
+   <systemitem>stderr</systemitem> du serveur quelque part, comme montré ci-dessus. Cela
    vous aidera dans des buts d'audits ou pour diagnostiquer des problèmes (voir
    la <xref linkend="logfile-maintenance"/> pour une discussion plus détaillée
    de la gestion de journaux de trace).
@@ -251,11 +251,11 @@
 
   <para>
    Normalement, vous lancerez le serveur de bases de données lors du
-   démarrage de l'ordinateur.<indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
-   lancement du serveur</secondary></indexterm> les scripts de lancement automatique sont
+   démarrage de l'ordinateur <indexterm><primary>démarrage</primary><secondary>au
+   lancement du serveur</secondary></indexterm>. Les scripts de lancement automatique sont
    spécifiques au système d'exploitation. Certains sont distribués avec
    <productname>PostgreSQL</productname> dans le répertoire
-   <filename>contrib/start-scripts</filename>. en installer un demandera les
+   <filename>contrib/start-scripts</filename>. En installer un demandera les
    droits de root.
   </para>
 
@@ -263,12 +263,12 @@
    Différents systèmes ont différentes conventions pour lancer les démons au
    démarrage. La plupart des systèmes ont un fichier
    <filename>/etc/rc.local</filename> ou
-   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. d'autres utilisent les répertoires
-   <filename>rc.d</filename>. quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
+   <filename>/etc/rc.d/rc.local</filename>. D'autres utilisent les répertoires
+   <filename>rc.d</filename>. Quoi que vous fassiez, le serveur doit être exécuté par le
    compte utilisateur <productname>PostgreSQL</productname> <emphasis>et non pas
-   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. donc, vous devriez
+   par root</emphasis> ou tout autre utilisateur. Donc, vous devriez
    probablement former vos commandes en utilisant <literal>su -c '...' 
-   postgres</literal>. par exemple&nbsp;:
+   postgres</literal>. Par exemple&nbsp;:
 <programlisting>su -c 'pg_ctl start -D /usr/local/pgsql/data -l serverlog' postgres</programlisting>
   </para>
 
@@ -340,7 +340,7 @@
    <para>
     Tant que le serveur est lancé, son
     <acronym>pid</acronym> est stocké dans le fichier
-    <filename>postmaster.pid</filename> du répertoire de données. c'est utilisé
+    <filename>postmaster.pid</filename> du répertoire de données. C'est utilisé
     pour empêcher plusieurs instances du serveur d'être exécutées dans le même
     répertoire de données et peut aussi être utilisé pour arrêter le processus
     le serveur.
@@ -385,7 +385,7 @@
      configuré le support de la mémoire partagée de type System-V dans votre
      noyau. Comme contournement temporaire, vous pouvez essayer de lancer le
      serveur avec un nombre de tampons plus petit que la normale
-     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). éventuellement, vous pouvez
+     (<xref linkend="guc-shared-buffers"/>). Éventuellement, vous pouvez
      reconfigurer votre noyau pour accroître la taille de mémoire partagée
      autorisée. Vous pourriez voir aussi ce message en essayant d'exécuter
      plusieurs serveurs sur la même machine si le total de l'espace qu'ils
@@ -434,7 +434,7 @@
         Is the server running on host "server.joe.com" and accepting
         TCP/IP connections on port 5432?</screen>
      Ceci est l'échec générique <quote>je n'ai pas trouvé de serveur à qui
-     parler</quote>. cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
+     parler</quote>. Cela ressemble au message ci-dessus lorsqu'une connexion
      TCP/IP est tentée. Une erreur commune est d'oublier de configurer le
      serveur pour qu'il autorise les connexions TCP/IP.
     </para>
@@ -469,9 +469,9 @@
 
   <para>
    Une installation importante de <productname>PostgreSQL</productname> peut rapidement
-   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation. (Sur certains
+   épuiser les limites des ressources du système d'exploitation (Sur certains
    systèmes, les valeurs par défaut sont trop basses que vous n'avez même pas
-   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.) si vous avez rencontré ce
+   besoin d'une installation <quote>importante</quote>.). Si vous avez rencontré ce
    type de problème, continuez votre lecture.
   </para>
 
@@ -490,7 +490,7 @@
     La mémoire partagée et les sémaphores sont nommés collectivement
     <quote><acronym>ipc</acronym> <systemitem class="osname">system v</systemitem></quote>
     (ensemble avec les queues de messages, qui n'ont pas d'importance pour
-    <productname>PostgreSQL</productname>). pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
+    <productname>PostgreSQL</productname>). Pratiquement, tous les systèmes d'exploitation
     modernes fournissent ces fonctionnalités mais, parmi elles, toutes ne sont pas
     activées ou dimensionnées suffisamment par défaut, spécialement les systèmes
     ayant l'héritage BSD (Sur <systemitem class="osname">windows</systemitem>,
@@ -500,7 +500,7 @@
 
    <para>
     Le manque complet de fonctionnalités est généralement manifesté par 
-    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. dans
+    une erreur <errorname>illegal system call</errorname> au lancement du serveur. Dans
     ce cas, il n'y a rien à faire à part reconfigurer votre noyau.
     <productname>PostgreSQL</productname> ne fonctionnera pas sans.
    </para>
@@ -509,7 +509,7 @@
     Quand <productname>PostgreSQL</productname> dépasse une des nombreuses limites
     <acronym>ipc</acronym>, le serveur refusera de s'exécuter et lèvera un
     message d'erreur instructif décrivant le problème rencontré et que faire
-    avec (voir aussi la <xref linkend="server-start-failures"/>). les
+    avec (voir aussi la <xref linkend="server-start-failures"/>). Les
     paramètres adéquats du noyau sont nommés de façon cohérente parmi les
     différents systèmes&nbsp;; le <xref linkend="sysvipc-parameters"/> donne un
     aperçu. Néanmoins, les méthodes pour les obtenir varient. Les suggestions
@@ -628,7 +628,7 @@
 
    <para>
     Certains systèmes ont aussi une limite sur le nombre total de mémoire partagée
-    dans le système (<varname>shmall</varname>). assurez-vous que cela soit suffisamment
+    dans le système (<varname>shmall</varname>). Assurez-vous que cela soit suffisamment
     important pour <productname>PostgreSQL</productname> et quelque autres applications
     utilisant des segments de mémoire partagée (attention&nbsp;:
     <varname>shmall</varname> est mesuré en pages plutôt qu'en octets sur beaucoup de
@@ -640,7 +640,7 @@
    <para>
     La taille minimum des segments de mémoire partagée (<varname>shmmin</varname>) est
     moins sensible aux problèmes. Elle devrait être au plus à environ
-    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). le
+    500&nbsp;Ko pour <productname>PostgreSQL</productname> (il est habituellement à 1). Le
     nombre maximum de segments au travers du système (<varname>shmmni</varname>) ou par
     processus (<varname>shmseg</varname>) a peu de chances de causer un problème sauf
     s'ils sont configurés à zéro sur votre système.
@@ -650,7 +650,7 @@
     <productname>PostgreSQL</productname> utilise un sémaphore par connexion
     autorisée (<xref linkend="guc-max-connections"/>) et par processus
     autovacuum autorisé (<xref linkend="guc-autovacuum-max-workers"/>), le
-    tout par ensemble de 16. chacun de ces
+    tout par ensemble de 16. Chacun de ces
     ensembles contiendra aussi un 17è sémaphore qui contient un <quote>nombre
     magique</quote> pour détecter la collision avec des ensembles de sémaphore
     utilisés par les autres applications. Le nombre maximum de sémaphores dans le
@@ -661,7 +661,7 @@
     linkend="sysvipc-parameters"/>). Le paramètre <varname>semmni</varname> détermine la
     limite sur le nombre d'ensembles de sémaphores qui peuvent exister sur le
     système à un instant précis. Donc, ce paramètre doit être au moins égal à
-    <literal>ceil((max_connections + autovacuum_max_workers) / 16)</literal>. baisser le nombre de connexions
+    <literal>ceil((max_connections + autovacuum_max_workers) / 16)</literal>. Baisser le nombre de connexions
     autorisées est un contournement temporaire pour les échecs qui sont
     habituellement indiqués par le message <errorname>no space left on
     device</errorname>, à partir de la fonction <function>semget</function>.
@@ -669,7 +669,7 @@
 
    <para>
     Dans certains cas, il pourrait être nécessaire d'augmenter
-    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. ce
+    <varname>semmap</varname> pour être au moins dans l'ordre de <varname>semmns</varname>. Ce
     paramètre définit la taille de la carte de ressources de sémaphores, dans
     laquelle chaque bloc contigü de sémaphores disponibles ont besoin d'une
     entrée. Lorsqu'un ensemble de sémaphores est libéré ou qu'il est enregistré
@@ -737,7 +737,7 @@
 	 configuration ci-dessus augmente l'aire de mémoire partagée à 32&nbsp;Mo.
          Pour ceux utilisant une version 4.3 ou ultérieure, vous aurez
          probablement besoin d'augmenter <varname>kernel_virtual_mb</varname> au-dessus
-         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. une fois tous les changements
+         de la valeur par défaut, <literal>248</literal>. Une fois tous les changements
          effectués, recompilez le noyau et redémarrez.
         </para>
        </formalpara>
@@ -750,7 +750,7 @@
 <computeroutput>0x9 = 9</computeroutput></screen>
         Ensuite, ajoutez <varname>sysptsize</varname> comme valeur codée en dur dans
         le fichier de configuration du noyau. Augmentez la valeur que vous
-        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. ajoutez 1 pour chaque
+        trouvez en utilisant <command>bpatch</command>. Ajoutez 1 pour chaque
         4&nbsp;Mo supplémentaire de mémoire partagée que vous souhaitez.
 <programlisting>options "SYSPTSIZE=16"</programlisting>
         <varname>sysptsize</varname> ne peut pas être modifié
@@ -762,7 +762,7 @@
         <para>
 	 Vous voudrez probablement aussi augmenter le nombre de sémaphores&nbsp;;
 	 la somme totale par défaut du système (60) n'autorisera seulement que
-	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. initialisez les
+	 50 connexions <productname>PostgreSQL</productname>. Initialisez les
          valeurs que vous souhaitez dans le fichier de configuration du
          noyau&nbsp;:
 <programlisting>options "SEMMNI=40"
@@ -780,9 +780,9 @@
        <para>
         Les paramètres par défaut sont seulement acceptables pour de petites
 	installations (par exemple, la valeur par défaut de
-	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). les modifications se font
+	<varname>shmmax</varname> est de 32&nbsp;mo). Les modifications se font
 	via les interfaces <command>sysctl</command> ou
-        <command>loader</command>. les paramètres suivants peuvent être configurés
+        <command>loader</command>. Les paramètres suivants peuvent être configurés
 	en utilisant <command>sysctl</command>&nbsp;:
 <screen><prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmall=32768</userinput>
 <prompt>$</prompt> <userinput>sysctl -w kern.ipc.shmmax=134217728</userinput>
@@ -841,7 +841,7 @@
         Les options <varname>sysvshm</varname> et <varname>sysvsem</varname> doivent être
         activées à la compilation du noyau (ils le sont par défaut). La taille
         maximum de mémoire partagée est déterminée par l'option
-        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). ce qui suit montre un exemple de
+        <varname>shmmaxpgs</varname> (en pages). Ce qui suit montre un exemple de
         l'initialisation des différents paramètres (<systemitem
 	class="osname">OpenBSD</systemitem> utilise <literal>option</literal> à la place)&nbsp;:
 <programlisting>options         SYSVSHM
@@ -878,7 +878,7 @@
         Les paramètres <acronym>ipc</acronym> peuvent être initialisés dans 
         <application>system administration manager</application> (<acronym>sam</acronym>) sous
         <menuchoice><guimenu>kernel configuration</guimenu><guimenuitem>configurable
-        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
+        Parameters</guimenuitem></menuchoice>. Allez sur <guibutton>create a new kernel</guibutton> une fois
         terminée.
        </para>
       </listitem>
@@ -984,7 +984,7 @@
        <para>
         Dans la configuration par défaut, seuls 512&nbsp;Ko de mémoire partagée
         par segment est autorisé. Pour augmenter ce paramétrage, allez tout
-	d'abord dans le répertoire <filename>/etc/conf/cf.d</filename>. pour afficher
+	d'abord dans le répertoire <filename>/etc/conf/cf.d</filename>. Pour afficher
 	la valeur courante de <varname>shmmax</varname>, lancez&nbsp;:
 <programlisting>./configure -y SHMMAX</programlisting>
         Pour configurer une nouvelle valeur de <varname>shmmax</varname>, lancez&nbsp;:
@@ -1005,7 +1005,7 @@
       <indexterm><primary>solaris</primary><secondary>configuration ipc</secondary></indexterm>
        <para>
         Au moins dans la version 2.6, la taille maximum par défaut d'un segment
-        de mémoire partagée est trop basse pour <productname>PostgreSQL</productname>. le
+        de mémoire partagée est trop basse pour <productname>PostgreSQL</productname>. Le
         paramétrage adéquat peut être modifié dans <filename>/etc/system</filename>, par
         exemple&nbsp;:
 <programlisting>set shmsys:shminfo_shmmax=0x2000000
@@ -1122,11 +1122,11 @@
    <para>
     Les systèmes d'exploitation style Unix renforcent différents types de
     limites de ressources qui pourraient interférer avec les opérations de votre
-    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. les limites sur le nombre de
+    serveur <productname>PostgreSQL</productname>. Les limites sur le nombre de
     processus par utilisateur, le nombre de fichiers ouverts par un processus et la
     taille mémoire disponible pour chaque processus sont d'une grande
     importance. Chacun d'entre elles ont une limite <quote>dure</quote> et une
-    limite <quote>souple</quote>. la limite souple est réellement ce qui compte
+    limite <quote>souple</quote>. La limite souple est réellement ce qui compte
     mais cela pourrait être changé par l'utilisateur jusqu'à la limite dure. La
     limite dure pourrait seulement être modifiée par l'utilisateur root. L'appel
     système <function>setrlimit</function> est responsable de l'initialisation
@@ -1145,7 +1145,7 @@
         :maxproc-cur=256:\
         :openfiles-cur=256:\
 ...</programlisting>
-    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. ajoutez
+    (<literal>-cur</literal> est la limite douce. Ajoutez
     <literal>-max</literal> pour configurer la limite dure.)
    </para>
 
@@ -1159,7 +1159,7 @@
       <filename>/proc/sys/fs/file-max</filename> détermine le nombre maximum de
       fichiers ouverts que le noyau supportera. Ce nombre est modifiable en
       écrivant un autre nombre dans le fichier ou en ajoutant une affectation
-      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. la limite des fichiers par
+      dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>. La limite des fichiers par
       processus est fixée lors de la compilation du noyau&nbsp;; voir
       <filename>/usr/src/linux/documentation/proc.txt</filename> pour plus
       d'informations.
@@ -1245,7 +1245,7 @@
 <programlisting>sysctl -w vm.overcommit_memory=2</programlisting>
     ou en plaçant une entrée équivalente dans <filename>/etc/sysctl.conf</filename>.
     Vous pourriez souhaiter modifier le paramétrage relatif
-    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. pour les détails, voir la documentation du
+    <literal>vm.overcommit_ratio</literal>. Pour les détails, voir la documentation du
     noyau (<filename>documentation/vm/overcommit-accounting</filename>).
    </para>
 
@@ -1325,7 +1325,7 @@
    Le programme <xref linkend="app-pg-ctl"/> fournit une interface agréable
    pour envoyer ces signaux dans le but d'arrêter le serveur. Autrement, vous
    pouvez envoyer le signal directement en utilisant <command>kill</command>
-   sur les systèmes autres que Windows. le <acronym>PID</acronym> du processus
+   sur les systèmes autres que Windows. Le <acronym>PID</acronym> du processus
    <command>postgres</command> peut être trouvé en utilisant le programme
    <command>ps</command> ou à partir du fichier
    <filename>postmaster.pid</filename> dans le répertoire des données.
@@ -1335,7 +1335,7 @@
 
   <important>
    <para>
-    Il est mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
+    Il vaux mieux de ne pas utiliser <systemitem>sigkill</systemitem> pour arrêter
     le serveur. Le faire empêchera le serveur de libérer la mémoire partagée et
     les sémaphores, ce qui pourrait devoir être fait manuellement avant qu'un
     nouveau serveur ne soit lancé. De plus, <systemitem>SIGKILL</systemitem> tue
@@ -1384,7 +1384,7 @@
 
   <para>
    Pour les connexions TCP, le
-   serveur doit seulement accepter les connexionx <literal>hostssl</literal>
+   serveur doit seulement accepter les connexions <literal>hostssl</literal>
    (<xref linkend="auth-pg-hba-conf"/>) et avoir les fichiers SSL pour la clé,
    <filename>server.key</filename>, et pour le certificat,
    <filename>server.crt</filename> (<xref linkend="ssl-tcp"/>). Le client TCP
@@ -1456,7 +1456,7 @@
    <listitem>
     <para>
      Sur Linux, le chiffrement peut se faire au niveau du montage d'un système
-     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. ceci
+     de fichiers en utilisant un <quote>périphérique loopback</quote>. Ceci
      permet à une partition entière du système de fichiers d'être cryptée et
      décryptée par le système d'exploitation. Sur FreeBSD, la fonctionnalité
      équivalent est appelé <quote>geom based disk encryption</quote>, ou
@@ -1501,7 +1501,7 @@
       réseau&nbsp;: le mot de passe, les requêtes et les données renvoyées. Le
       fichier <filename>pg_hba.conf</filename> permet aux administrateurs de spécifier
       quels hôtes peuvent utiliser des connexions non cryptées (<literal>host</literal>)
-      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). de plus,
+      et lesquels requièrent des connexions SSL (<literal>hostssl</literal>). De plus,
       les clients peuvent spécifier qu'ils se connectent aux serveurs seulement
       via SSL. <application>stunnel</application> ou <application>ssh</application> peuvent aussi
       être utilisés pour crypter les transmissions.
@@ -1745,7 +1745,7 @@
   <para>
    Vous pouvez utiliser <application>ssh</application> pour crypter la
    connexion réseau entre les clients et un serveur
-   <productname>PostgreSQL</productname>. réalisé correctement, ceci fournit une
+   <productname>PostgreSQL</productname>. Réalisé correctement, ceci fournit une
    connexion réseau sécurisée, y compris pour les clients non SSL.
   </para>
 
@@ -1753,7 +1753,7 @@
    Tout d'abord, assurez-vous qu'un serveur <application>ssh</application> est
    en cours d'exécution sur la même machine que le serveur
    <productname>PostgreSQL</productname> et que vous pouvez vous connecter via
-   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. ensuite, vous
+   <command>ssh</command> en tant qu'un utilisateur quelconque. Ensuite, vous
    pouvez établir un tunnel sécurisé avec une commande comme ceci sur la machine
    cliente&nbsp;:
 <programlisting>ssh -L 3333:foo.com:5432 joe at foo.com</programlisting>



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